Codedu travail > Chapitre IV : Portage salarial (Articles L1254-1 Ă  L1254-31) Aller au contenu; Aller au menu; Aller au menu; Aller Ă  la recherche; Menu. Informations de mises Ă 

Sommaire de votre fiche de synthĂšse sur le financement de l’action publique I. Les ressources et les dĂ©penses de l’Etat Les dĂ©penses de l’État Les ressources de l’État Le problĂšme du dĂ©ficit public II. Les ressources et les dĂ©penses des collectivitĂ©s territoriales Les dĂ©penses des collectivitĂ©s Les ressources des collectivitĂ©s III. Les ressources et les dĂ©penses de la SĂ©curitĂ© sociale Les dĂ©penses de la SĂ©curitĂ© sociale Les ressources de la SĂ©curitĂ© sociale Évolution du budget de la SĂ©curitĂ© sociale Conclusion et perspectives Introduction Le budget de l’action publique La somme des dĂ©ficits des trois administrations publiques l’État, les collectivitĂ©s territoriales et la SĂ©curitĂ© sociale constitue le dĂ©ficit public. Celui-ci s’élĂšve Ă  3 % du PIB en 2019. Avec la crise de la Covid-19, il va durablement se creuser dĂšs 2020. On distingue le dĂ©ficit budgĂ©taire situation dans laquelle les recettes de l’État, hors remboursement d’emprunt, sont infĂ©rieures Ă  ses dĂ©penses, hors emprunt, au cours d’une annĂ©e du dĂ©ficit public, qui englobe le solde des recettes et des dĂ©penses des autres administrations publiques collectivitĂ©s territoriales et organismes de SĂ©curitĂ© sociale, notamment. La somme des dĂ©ficits de l’État constitue la dette de l’État, qui correspond au total des emprunts contractĂ©s par l’État. En 2019, la somme des dettes des trois APU = la DETTE PUBLIQUE 98,8 % du PIB, soit 2 380 milliards d’euros. La charge de la dette c’est-Ă -dire les seuls intĂ©rĂȘts de la dette reprĂ©sente 38 milliards d’euros. Voir infographie Les ressources et les dĂ©penses de l’Etat [
] PrĂ©pa concours Toutes les filiĂšres Cet article est en relation avec le dossier Les finances publiques 1 les rĂšgles budgĂ©taires Cet article fait partie du Dossier Les institutions administratives 1 l'organisation de l'administration de l'Etat
1et Ă  l'article 14 de l'ordonnance n° 96-50 du 24 janvier 1996 relative au remboursement de la dette sociale et ne sont pas redevables des cotisations visĂ©es au deuxiĂšme alinĂ©a de l'article L. 131-9 et Ă  l'article L. 380-2. Ils sont redevables d'une cotisation fixĂ©e en pourcentage du montant de leurs revenus dĂ©finis selon les Suite aux modifications apportĂ©es par les ordonnances Macron, diffĂ©rents dĂ©bats que certains qualifieront de grands » se sont ouverts en protection sociale complĂ©mentaire. L’article 1er de l’ordonnance n° 2017-1385 du 22 septembre 2017 relative au renforcement de la nĂ©gociation collective vient, en effet, entre autres, modifier les articles L. 2253-1 et L. 2253-3 du code du travail CT et bouleverse quelque peu l’articulation des diffĂ©rentes normes en droit social lorsqu’elles sont en concurrence. DĂ©sormais, lorsque la convention de branche dĂ©finit les garanties collectives complĂ©mentaires mentionnĂ©es Ă  l'article L. 912-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale », ses stipulations prĂ©valent sur la convention d'entreprise conclue antĂ©rieurement ou postĂ©rieurement Ă  la date d'entrĂ©e en vigueur de la convention de branche, sauf lorsque la convention d'entreprise assure des garanties au moins Ă©quivalentes » nouvel article L. 2253-1 CT. En revanche, selon le nouvel article L. 2253-3 CT, pour les garanties autres que celles mentionnĂ©es Ă  l’article L. 912-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale CSS, une convention d’entreprise prĂ©vaut sur les stipulations de la convention de branche ayant le mĂȘme objet – et ce, quel que soit le contenu et le sens de la convention d’entreprise. Plusieurs questions se posent ainsi Qu’entend-on par garanties collectives complĂ©mentaires mentionnĂ©es Ă  l'article L. 912-1 CSS? en quoi cette notion serait-elle nouvelle ? Comment une entreprise dĂ©montre qu’elle assure des garanties au moins Ă©quivalentes ?Quelle place reste-t-il aux autres actes juridiques ayant instituĂ© dans l’entreprise des garanties de protection sociale et en particulier la dĂ©cision unilatĂ©rale Ă©crite qui jusqu’ici Ă©tait l’outil de prĂ©dilection des plus petites entreprises ? Autant de sujets dĂ©terminant ce que l’entreprise peut mettre en Ɠuvre et selon quels moyens. A titre liminaire, nous avons notĂ© que certains commentateurs s’interrogent sur les termes utilisĂ©s dans la rĂ©daction de l’ordonnance maladresse ? erreur ? ou volontĂ© dĂ©libĂ©rĂ©e ? l’article L. 912-1 CSS ne serait-il pas l’article L. 911-2 du mĂȘme code qui lui liste prĂ©cisĂ©ment toutes les garanties collectives en protection sociale ; le qualificatif complĂ©mentaires » n’aurait-il pas Ă©tĂ© repris de maniĂšre dĂ©suĂšte ? A notre sens, au lieu d’émettre de telles hypothĂšses impliquant des arbitrages entre ce qui relĂšve de l’erreur ou non, il convient de considĂ©rer que les rĂ©dacteurs ont bien eu la volontĂ© de rĂ©diger l’ordonnance telle quelle et de se concentrer plutĂŽt sur une interprĂ©tation du texte en l’ Qu’est-ce que l’entreprise peut prĂ©voir, par voie de convention, en prĂ©sence d’une convention de branche ?Selon la volontĂ© des nĂ©gociateurs au niveau de la branche, deux hypothĂšses sont possibles > La convention de branche prĂ©voit des garanties prĂ©sentant un haut degrĂ© de solidaritĂ© Premier constat la branche s’inscrit ici dans le cadre de l’article L. 912-1 CSS. Pour mĂ©moire, cet article fut totalement revu fin 2013 aprĂšs la dĂ©claration d’inconstitutionnalitĂ© et la disparition des clauses de dĂ©signation par une branche des organismes assureurs, chargĂ©s de gĂ©rer ces garanties et auprĂšs desquels les entreprises devaient souscrire leurs contrats d’ domaine visĂ© par l’ordonnance est trĂšs exactement les garanties collectives complĂ©mentaires mentionnĂ©es Ă  l'article L. 912-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale ». Il s’agit par consĂ©quent d’un certain type d’accords de branche et ne sont donc pas visĂ©es toutes les conventions de branche. En effet, rappelons que l’article L. 912-1 CSS permet aux accords professionnels ou interprofessionnels d’instituer des garanties collectives prĂ©sentant un degrĂ© Ă©levĂ© de solidaritĂ© et comprenant Ă  ce titre des prestations Ă  caractĂšre non directement contributif ». Les accords peuvent alors, aprĂšs une procĂ©dure de mise en concurrence encadrĂ©e, recommander un ou plusieurs assureurs pour couvrir les risques concernĂ©s. L’objet principal d’un tel accord porte sur l’institution au bĂ©nĂ©fice des salariĂ©s de garanties collectives gĂ©rĂ©es par des organismes assureurs habilitĂ©s soit ceux recommandĂ©s soit d’autres, au choix de l’entreprise autrement dit, des garanties d’assurance ou couvertures de risques d’assurance tels que le dĂ©cĂšs, l’incapacitĂ© de travail, l’invaliditĂ©, la maladie, ainsi que les avantages liĂ©s Ă  la fin de carriĂšre ou la retraite avantages nĂ©gociĂ©s moins frĂ©quemment au niveau d’une branche, venant en principe en complĂ©ment de celles issues de l’organisation de la sĂ©curitĂ© sociale. Ces garanties forment pour les salariĂ©s avec les autres dispositions que comporte l’accord les cotisations, les bĂ©nĂ©ficiaires,
, un dispositif social collectif. La caractĂ©ristique supplĂ©mentaire du dispositif visĂ© par l’ordonnance est de prĂ©senter un degrĂ© Ă©levĂ© de solidaritĂ©, c’est-Ă -dire qu’il doit, depuis la réécriture de l’article L. 912-1 CSS, proposer notamment des prestations non directement contributives, des actions de prĂ©vention, des mesures d’action sociale qui elles ne sont pas gĂ©rĂ©es nĂ©cessairement par des organismes assureurs. Notamment » venons-nous d’écrire
 alors que nous pourrions Ă©crire en outre ». Par consĂ©quent, les garanties mentionnĂ©es Ă  l’article L. 912-1 CSS comprennent les garanties de prĂ©voyance principalement complĂ©mentaire et les prestations non directement contributives et non pas seulement ces derniĂšres. Limiter le champ d’application visĂ© par l’article L. 2253-1 CT aux seules prestations non directement contributives reviendrait pour les entreprises Ă  ouvrir sĂ»rement un nombre bien plus infini de possibilitĂ©s Appliquer la convention de branche dans toutes ses stipulations,Ou dĂ©montrer qu’elles disposent de garanties au moins Ă©quivalentes mais sur ces seules prestations,Et parallĂšlement instituer des couvertures de risques comme elles l’entendent sans tenir compte de ce que la branche aura pu dĂ©cider. C’est ici que l’on pourrait s’interroger sur la rĂ©elle volontĂ© des rĂ©dacteurs ! Si une telle interprĂ©tation Ă©tait retenue, ne viderait-elle pas totalement de sens la nĂ©gociation de branche en matiĂšre de protection sociale complĂ©mentaire ? De mĂȘme, limiter le champ d’application de l’article L. 2253-1 CT aux seules garanties collectives complĂ©mentaires correspondant Ă  des couvertures de risques d’assurance susvisĂ©s serait mĂ©connaĂźtre les Ă©volutions apportĂ©es depuis 2013 Ă  l’article L. 912-1 CSS et l’introduction de ces prestations non directement contributives. Enfin, et Ă  l’inverse, considĂ©rer que le champ d’application du 6Ăšme alinĂ©a de l’article L. 2253-1 CT correspondrait Ă  toutes les garanties collectives instituĂ©es par convention de branche, qu’elles prĂ©sentent ou non un degrĂ© Ă©levĂ© de solidaritĂ© serait l’élargir et sanctuariser outre mesure le domaine de la protection sociale de branche. Un tel Ă©largissement serait en outre une mĂ©connaissance du texte qui renvoie expressĂ©ment Ă  l’article L. 912-1 CSS. Se pose ensuite la question de ce qu’il convient d’entendre par garanties au moins Ă©quivalentes ». A quelle dĂ©monstration l’entreprise va devoir procĂ©der par rapport Ă  la convention de branche - et ce, qu'elle dispose dĂ©jĂ  de garanties collectives lors de l'entrĂ©e en vigueur de l'accord de branche ou qu'elle envisage d'instituer de telles garanties postĂ©rieurement ?Ce sujet ressemble aux dĂ©bats qui ont dĂ©jĂ  existĂ© sur les garanties au moins aussi favorables lorsque les dispositions prĂ©vues par la branche Ă©taient le socle minimal Ă  respecter ou encore sur les garanties identiques ou non Ă  maintenir dans le cadre de l’article 4 de la loi Evin couverture des anciens salariĂ©s en complĂ©mentaire santĂ©. Si pour l’instant, il est difficile d’apporter des Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse prĂ©cis sur le caractĂšre Ă©quivalent ou non des garanties Ă©gal ? supĂ©rieur ? tout sera une question de mesure, il convient de noter que le sens du mot garanties » dans le dernier alinĂ©a de l’article L. 2253-1 CT n’est pas nĂ©cessairement le mĂȘme que celui des garanties collectives complĂ©mentaires » visĂ© au 6Ăšme alinĂ©a de cet article. Il est fort Ă  parier que les garanties » offertes aux salariĂ©s par les conventions de branche ou d’entreprise ne se limiteront pas Ă  une comparaison dĂ©jĂ  complexe du contenu de contrats d’assurance. En effet, les dispositifs de protection sociale complĂ©mentaire peuvent garantir les salariĂ©s comme leurs familles, couvrir diffĂ©rents risques, prĂ©voir diffĂ©rentes prestations, divers niveaux et formes de prestations, mais aussi prĂ©voir des financements spĂ©cifiques, des dispenses d’affiliation etc les comparaisons vont alors ĂȘtre difficiles et dĂ©terminer les garanties Ă©quivalentes Ă©galement.> La convention de branche prĂ©voit des garanties ne prĂ©sentant pas un haut degrĂ© de solidaritĂ© Dans ce cas, la branche a choisi de mettre en place un dispositif collectif en protection sociale complĂ©mentaire, sur le fondement du simple » article L. 911-1 CSS qui indique tous les modes de mise en place d’un rĂ©gime de protection sociale complĂ©mentaire loi, dĂ©cret, convention de branche, accord collectif d’entreprise, rĂ©fĂ©rendum ou dĂ©cision unilatĂ©rale Ă©crite de l’employeur ne comportant aucune prestation non directement contributive. Si les garanties collectives prĂ©sentant un haut degrĂ© de solidaritĂ© entrent dans le champ de l’article L. 2253-1 CT, tel n’est pas le cas de celles qui ne prĂ©sentent pas ces caractĂ©ristiques. S’appliquera alors la hiĂ©rarchie des normes dans le sens de l’autre article modifiĂ© par l’ordonnance Macron, Ă  savoir l’article CT. D’oĂč l’importance du premier dĂ©bat Ă©voquĂ© ci-dessus car selon l’interprĂ©tation que l’on adopte, le champ de la prĂ©valence de la convention de branche est sensiblement diffĂ©rent. L’entreprise aura, dans cette seconde hypothĂšse, toute libertĂ© sous rĂ©serve du bon respect des dispositions lĂ©gales et d’ordre public, pour nĂ©gocier, par voie de convention, d’autres dispositions que celles de la convention de branche voire mĂȘme des garanties moins-disantes Ă©tant ici exemptĂ©e de toute obligation liĂ©e au caractĂšre au moins Ă©quivalent de garanties. Ce renversement a priori de paramĂštres risque bien d’ĂȘtre le bouleversement majeur de cette nouvelle hiĂ©rarchie des normes dans le domaine de la protection sociale complĂ©mentaire. Notons enfin que le principe de prĂ©valence des conventions d’entreprise dans le cadre de l’article CT va pouvoir ĂȘtre mis en Ɠuvre dĂšs le 1er janvier 2018 puisque les clauses des accords de branche, quelle que soit leur date de conclusion, cessent de produire leurs effets vis-Ă -vis des accords d’entreprise Ă  cette date. 2. A dĂ©faut d’utiliser une convention d’entreprise au sens des ordonnances Macron, est-il possible pour l’entreprise de disposer diffĂ©remment de la convention de branche ? Ainsi que les lecteurs auront pu le constater, l’ordonnance Macron ne vise que l’articulation entre convention de branche et convention d’ Macron a souhaitĂ© dĂ©velopper la nĂ©gociation collective en crĂ©ant des outils juridiques supplĂ©mentaires donnant accĂšs aux entreprises quelle que soit leur taille Ă  la nĂ©gociation d’accords valant conventions d’entreprise. Mais a-t-elle envisagĂ© pour autant de supprimer les autres modes ? Or dans le domaine de la protection sociale complĂ©mentaire, l’article L. 911-1 CSS Ă©voquĂ© prĂ©cĂ©demment permet d’instituer un dispositif de protection sociale de diverses maniĂšres. Pour rappel ce dernier dispose que les garanties collectives dont bĂ©nĂ©ficient les salariĂ©s, anciens salariĂ©s et ayants droit en complĂ©ment de celles qui rĂ©sultent de l'organisation de la sĂ©curitĂ© sociale sont dĂ©terminĂ©es soit par voie de conventions ou d'accords collectifs, soit Ă  la suite de la ratification Ă  la majoritĂ© des intĂ©ressĂ©s d'un projet d'accord proposĂ© par le chef d'entreprise, soit par une dĂ©cision unilatĂ©rale du chef d'entreprise constatĂ©e dans un Ă©crit remis par celui-ci Ă  chaque intĂ©ressĂ© ». Sous rĂ©serve du bon respect de la hiĂ©rarchie des normes, l’entreprise a toujours eu un certain choix quant au mode opĂ©ratoire. MĂȘme si la convention d’entreprise semble ĂȘtre plus dans l’air du temps, ce phĂ©nomĂšne va-t-il entraĂźner la suppression des autres actes et en particulier la dĂ©cision unilatĂ©rale Ă©crite de l’employeur DUE? Une telle assertion nous semble exagĂ©rĂ©e. En revanche, faire des prĂ©visions sur la dĂ©croissance en pratique de la DUE ou une utilisation plus ciblĂ©e de celle-ci semble plus rĂ©aliste. En effet, les conventions de branche peuvent ĂȘtre plus ou moins complĂštes et contraignantes en protection sociale complĂ©mentaire. Ainsi, si certains accords imposent un niveau de garantie, une rĂ©partition de cotisation voire Ă©galement le respect d’un taux de cotisation minimal, d’autres sont plus lacunaires et imposent aux entreprises de la branche uniquement quelques-uns de ces Ă©lĂ©ments. La convention de branche ne fixant pas tous les Ă©lĂ©ments qui permettent la mise en Ɠuvre effective du rĂ©gime dans l’entreprise, l’employeur doit alors veiller Ă  dĂ©finir les rĂšgles qu’il applique dans un acte juridique qui marque son engagement complet vis-Ă -vis des salariĂ©s et qui est nĂ©cessaire sous peine de voir l’Urssaf le lui reprocher lors d’un contrĂŽle. La DUE est alors un moyen pour l’entreprise de formaliser son engagement tout comme l’est la convention d’entreprise ou l’accord rĂ©fĂ©rendaire. La DUE n’est pas en concurrence avec la convention de branche mais vient alors en relais ou la complĂ©ter ou s’y ajouter. Il n’est pas question que la DUE se substitue Ă  la convention de branche, ni mĂȘme de mettre en Ɠuvre des garanties Ă©quivalentes par DUE mais bien de prĂ©voir par voie de DUE ce qui n’a pas Ă©tĂ© mentionnĂ© dans la convention de branche. En ce sens, une DUE ne pourra pas s’inscrire dans l’articulation nouvelle des normes en droit social issue des ordonnances Macron. Les entreprises ne pourront finalement utiliser une DUE que si Aucune disposition n’est prĂ©vue dans la convention de branche dont elles relĂšvent ;Ou si elles envisagent de complĂ©ter une convention de branche qui ne prĂ©voit que des dispositions partielles. Toutes ces interrogations ne sont pas neutres dans un domaine qui depuis 2013 a beaucoup agitĂ© les branches, les entreprises, les assureurs et les conseils. Domaine qui ressemble encore aujourd’hui Ă  une guerre des tranchĂ©es oĂč chacun campe sur ses positions et oĂč les dĂ©cisions prises dans les trĂšs nombreux contentieux gĂ©nĂ©rĂ©s par ces sujets ont Ă©galement contribuĂ© Ă  brouiller les repĂšres et Ă©viter de dĂ©finir des lignes conviendra par consĂ©quent d’ĂȘtre trĂšs attentifs aux diverses initiatives qu’elles pourraient gĂ©nĂ©rer de part et d’autre. RadoviĆĄou Radovich (en macĂ©donien : Đ Đ°ĐŽĐŸĐČОш) est une ville et une municipalitĂ© du sud-est de la MacĂ©doine du Nord.Elle comptait 28 244 habitants en 2002 et fait 497,48 km 2.Elle s'Ă©tend au pied du massif de la Platchkovitsa, dans une vallĂ©e qu'elle partage avec Stroumitsa.La ville de RadoviĆĄ est la deuxiĂšme plus grande du sud-est du pays et elle se trouve sur la route M6, axe I-La cotisation due par les personnes mentionnĂ©es Ă  l'article L. 380-3-1 au titre d'une annĂ©e civile est calculĂ©e selon la formule dĂ©finie au 1° du I de l'article D. 380-1, la valeur A correspondant alors Ă  l'assiette des revenus dĂ©finis au deuxiĂšme alinĂ©a du IV de l'article L. 380-3-1 perçus au cours de la derniĂšre annĂ©e civile pour laquelle ces revenus sont connus.

Ala demande de M. Jean-Pierre Cantegrit, sénateur des Français établis hors de France et président de la Caisse des Français de l'Etranger, votre commission vous propose d'adopter un amendement complétant le premier alinéa de l'article L. 380-1 du code de la sécurité sociale par les mots : " ou de la caisse des Français de l'étranger ".

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Enapplication de l’accord du 27 septembre 2021 (BOCC 2021-48 TRA), ci-dessous la grille des salaires minima au 1er janvier 2022 de la convention collective nationale des entreprises de prĂ©vention et de sĂ©curitĂ© du 15 fĂ©vrier 1985 (IDCC 1351 – Brochure JO N° 3196). La grille des salaires conventionnelle permet de rĂ©pondre aux
del’article L. 380-3-1 du Code de la SĂ©curitĂ© sociale est calculĂ©e pour chaque annĂ©e civile sur la base des revenus dĂ©finis au deuxiĂšme alinĂ©a du IV de ce mĂȘme article, aprĂšs dĂ©duction du montant annuel fixĂ© Ă  l’article D. 380-1 du mĂȘme code, perçus au cours de l’avant-derniĂšre annĂ©e civile prĂ©cĂ©dant celle au titre de
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