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Livres Ebooks & liseuses Nouveautés Coups de cœur Livres à prix réduits Bons plans Papeterie Jeux Reprise de livres " Il vaut mieux ne pas croire aveuglément Michael Moore la classe dirigeante actuelle des Etats-Unis n'est pas composée de brutes analphabètes incapables... Lire la suite 17,25 € Définitivement indisponible " Il vaut mieux ne pas croire aveuglément Michael Moore la classe dirigeante actuelle des Etats-Unis n'est pas composée de brutes analphabètes incapables de saisir les complexités du monde... Pour s'en convaincre, il suffit de lire ce rapport produit par le Conseil national du renseignement américain National Intelligence Council pour la CIA. Un texte dense, articulé et subtil qui propose un examen en profondeur des grandes tendances du monde de demain. Dans tous les domaines - politique, économie, environnement, religion, terrorisme -, c'est une réflexion passionnante sur les forces et sur les dangers en même temps qu'un ensemble très précis d'indications qui orienteront la politique des Etats-Unis dans les prochaines années... C'est pourquoi il nous faut examiner sans passion ni préjugés cette " cartographie du futur " dont nous n'avons pas l'équivalent aujourd'hui en Europe. " Le terrorisme va-t-il s'amplifier ? Verra-t-on l'effondrement de l'hégémonie américaine ? Les pleins pouvoirs iront-ils à l'Asie ? S'appuyant sur des sources et des hypothèses extrêmement sérieuses, les auteurs se livrent aussi à de très réalistes scénarios de politique-fiction. Ainsi la lettre du petit-fils de Ben Laden à sa famille proclamant l'instauration d'un nouveau califat ou le dialogue sous forme de SMS entre trafiquants d'armes nucléaires et chimiques... Ce rapport, écrit par vingt-cinq experts internationaux sur la base de données jusqu'ici secrètes, nous dit comment sera la monde en 2020. Date de parution 29/09/2005 Editeur ISBN 2-221-10530-3 EAN 9782221105306 Présentation Broché Nb. de pages 268 pages Poids Kg Dimensions 13,5 cm × 21,5 cm × 2,3 cm
FUTUROLOGIEBIBLIOGRAPHIE • Le rapport de la CIA Comment sera le monde en 2020 ? Présenté par Adler Alexandre, Johan-Frédérik Hel Guedj, éditions Robert Laffont, 2005, (lire en ligne le rapport en version originale : Mapping the Global Future [archive]) • Godet, Michel Manuel de prospective stratégique - Tome 1 Une indiscipline intellectuelle, édition Dunod,2004
Auteure de roman policier Billet de blog 25 mars 2020 " En 2005, Alexandre Adler préfaçait... Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain »... Cette crise du Covid-19, les experts l’avaient prédite avec une précision saisissante. A. Adler revient sur ce rapport et se projette dans l’après-crise. Selon lui, cette épidémie sera un tournant pour l’avenir du monde et annonce de profondes transformations " Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. Les articles les plus lus Journal — Allemagne l’adieu au pacifisme Journal — Brésil splendeurs et misères du Parti des travailleurs Recommandés par nos abonnées
Surun sujet qui relevait jusqu’alors, littéralement, de l’indicible, Gilles-William Goldnadel, sans complexe, explique les causes – qui remontent, selon lui, à la Shoah, et en décrit les dramatiques conséquences. Toutes les querelles modernes sont revisitées sans fard : l’identité raciale et nationale, le racisme antiblanc, l
Publié le 22 oct. 2018 à 1707Les technologies avancées sont déjà utilisées par beaucoup d’entreprises, mais ne sont pas encore démocratisées. On observe aujourd’hui un écart entre ceux qui utilisent les technologies du futur, et les autres. Ce phénomène a des conséquences particulièrement visibles sur le marché du travail, car nombreux sont ceux qui ne savent pas quelles compétences seront indispensables à l’avenir, ni comment les acquérir. Les nouvelles technologies peuvent aussi représenter une source d’inquiétude pour certains, et ce, même pour les "digital natives". Selon une étude menée par Gallup en 2017, 37 % des Millenials redoutent la perte de leur emploi à cause de l’Intelligence artificielle au cours des 20 prochaines années. Pourtant, plusieurs études comme celles du centre pour la recherche économique européenne ZEW en Allemagne mettent en évidence que les sociétés qui investissent dans le numérique créent aujourd’hui davantage d’emplois que les de métiers parmi ceux que nous connaissons aujourd’hui existeront dans le futur ? Quelles activités humaines pourront être assurées par des machines grâce au Machine Learning ? Quelles tâches seront réservées aux humains ? Existera-t-il de nouveaux métiers dont nous n’avons aucune idée aujourd’hui ?Futur du travail ou travail du futur ?S’il est légitime de se poser toutes ces questions, force est de constater que la technologie peut améliorer l’expérience client et faire évoluer les domaines nécessitant la création d’emplois. Il ne faut donc pas se baser sur les logiques actuelles pour réfléchir à la façon dont nous travaillerons l’industrie par exemple, de nombreuses tâches réalisées par les humains nécessitent la même charge de travail qu’auparavant. De même, l’activité d’un médecin, d’un avocat ou d’un chauffeur de taxi a relativement peu changé au cours des dix dernières années. Seuls certains éléments de leur métier sont désormais réalisés ou pris en charge par des machines. Mais à l’ère du numérique, les humains font bien plus que compenser ce que les machines sont incapables d’effectuer. Le travail réalisé par les hommes et les machines se concentre sur un objectif crucial, celui de résoudre les problématiques des l’industrie automobile, il ne s’agit plus seulement de produire des voitures, mais d’amener les clients à destination. La logique de la mobilité est pensée dans son ensemble et a pour point de départ les utilisateurs. Les problèmes sont définis et pré-structurés par les humains puis les machines et algorithmes prennent le relais pour développer des solutions. L’analyse et les décisions finales d’application restent une tâche le domaine de la santé, les radiologues sont désormais assistés par des outils basés sur le Machine Learning leur permettant d’évaluer le contenu numérique d’une manière jusque-là inimaginable. De nombreux radiologues affirment même que les conseils basés sur le Machine Learning améliorent grandement leurs capacités d’interprétation des est également possible de "ré-humaniser" davantage le travail et de donner encore plus d’importance à nos compétences. Jusqu’à présent, l’accès aux technologies numériques était avant tout réservé aux machines avec nos systèmes, les interfaces ne sont plus pilotées par des machines, et dans le futur, les humains seront le point de l’ère de l’automatisation par exemple, quiconque souhaitait apprendre à un robot à marcher devait calculer précisément chaque angle de la pente de la cuisse, la vitesse du mouvement et d’autres paramètres, avant de programmer cette commande. Dans le futur, nous serons capables de communiquer avec les robots dans "notre" langage, simplifiant et systématisant la collaboration homme-robot. Sur contrôle vocal, le robot pourra par exemple apprendre seul à marcher grâce à un analyseur de mouvement lui permettant d’adapter et répliquer le mouvement humain. Grâce aux nouvelles technologies et à une puissance de calcul toujours plus élevée, le travail du futur sera davantage axé sur les individus et moins sur les la relation entre l’homme et la machineLes progrès de l’interface humain-machine sont très rapides, et ont déjà un impact visible sur la manière dont nous travaillons. Demain, la technologie s'inscrira beaucoup plus naturellement dans notre environnement de travail et pourra être activée à travers plusieurs sens la parole, la vue, le toucher ou même l’odorat. Prenons l’exemple des technologies de contrôle vocal. Elles sont aujourd’hui capables de comprendre, interpréter et répondre à des conversations de manière professionnelle, et facilitent ainsi le déroulement des nouveaux processus de travail. Ces nouvelles compétences permettent entre autres de réaliser des diagnostics médicaux, de donner des conseils juridiques et d’organiser la vie des entreprises. Par exemple, Amazon Alexa gère aujourd’hui la réservation des salles de conférence et l’organisation des réunions de la NASA quand Amazon Transcribe se charge de retranscrire la réunion et de partager son document avec l’ensemble des nouvelles technologies permettent donc déjà de s’affranchir de certaines tâches fastidieuses. Les ressources attribuées jusqu’alors à ces tâches peuvent ainsi être consacrées à des missions ayant une réelle valeur ajoutée pour le client. Dans la même logique, les profils d’architectes, de développeurs, de spécialistes plateforme et d’analystes seront davantage recherchés que les profils classiques d’administrateurs, effectuant des tâches selon des étapes prédéfinies. En se recentrant sur le besoin humain de créer, le travail pourrait donc devenir plus épanouissant et plus davantage de personnes dans ce monde numériqueCette nouvelle compréhension de la relation entre l’homme et la machine permettra également d’impliquer de plus en plus d’individus à la création de valeur par le biais du numérique. Même les personnes ayant une connexion internet limitée, vivant dans des contrées isolées ou difficiles, ne sont pas en reste et peuvent être inclues dans cette transformation technologique. C’est le cas des riziculteurs à Manille, aux Philippines. En utilisant le Machine Learning, l’Institut International de Recherche sur le Riz délivre des recommandations aux agriculteurs sur la qualité et la quantité d’engrais à utiliser pour leurs cultures. L’augmentation de leur récolte de riz est la concrétisation directe d’un travail valorisé par la technologie. Pour l’heure, nous n’avons qu’un aperçu de ce que le monde du travail sera dans les prochaines années. Mais ce que nous voyons et vivons démontre bien que la qualité du travail humain s’améliore à mesure que la technologie progresse. Si, pour l’instant, nous ne pouvons qu’imaginer jusqu’où cette révolution technologique peut nous porter, il semblerait que la tendance nous amène à utiliser davantage notre créativité naturelle.
Danscette lettre à ses enfants, notre chroniqueur Laurent Alexandre livre quelques pistes de réflexion. À 55 ans, je suis un vieux con. J’ai donc peu de légitimité pour vous donner des conseils. Le futur dans lequel vous allez
Advertisement Ils ont été nombreux, ces dernières années, à expliquer que les dictatures arabes valaient mieux que la démocratie, car celle-ci risquait d’amener les islamistes au pouvoir. Le 27 janvier encore, sur TF1, Frédéric Encel, présenté comme maître de conférences à Sciences Po » il est en réalité, comme 2 000 à 3 000 autres, simple chargé de cours, qui parade sur tous les plateaux de télévision, expliquait que si Moubarak tombe, les islamistes prendront le pouvoir ». C’était le même thème que reprenait Caroline Fourest dans une chronique qui a précédé les révolutions arabes de quelques semaines, Séculariser puis démocratiser » Le Monde, 29 novembre 2010. Cette antienne a servi pendant des décennies à justifier les soutiens officiels aux présidents Ben Ali et Moubarak, mais aussi l’attitude de nombreux responsables politiques. Et on a pu mesurer le degré de collusion entre certains responsables français et la Tunisie – collusion impliquant de solides avantages financiers – avec l’affaire Michèle Alliot-Marie. Mais l’exemple de Bertrand Delanoë montre que les deux grands partis politiques manifestaient la même complaisance. Voici ce que le maire de Paris disait à propos de Ben Ali Je lui parle beaucoup des opposants. Je dis ce que je pense, et notamment du président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme. En Tunisie, on peut être ami avec des gens qui se combattent. Il n’est pas rare de se retrouver à un dîner ou à une soirée d’amis où il y a les opposants les plus farouches, les légaux, les illégaux, les gens au pouvoir. » Pour justifier son incroyable aveuglement, le maire de Paris poursuit sur cette note pseudo-culturaliste Nous, les Tunisiens, nous sommes un peu complexes. C’est un des charmes de la Tunisie. Elle est dirigée de manière autoritaire et je ne méconnais pas la réalité de ce pouvoir. Mais je suis le fils de la Tunisie. Ce qui ne m’empêche pas d’exprimer mes convictions de la même manière avec tous. » Les journalistes n’étaient pas en reste, et tous n’étaient pas non plus désintéressés, comme l’a révélé, pour ces derniers, un article du Canard Enchaîné du 29 juin, résumé sur Rue89, Le Canard épingle des journalistes hôtes de Ben Ali » Selon l’hebdomadaire, Image 7 organisait les vacances de certains journalistes en Tunisie du 20 mai au 24 mai 2009, Etienne Mougeotte Le Figaro, Nicolas de Tavernost M6, Dominique de Montvalon Le Parisien et Alain Weil patron de RMC-BFM TV seraient partis à Tunis avec leurs épouses ; du 22 juin au 24 juin 2007, Michel Schifres et Marie-Ange Horlaville journaliste du Figaro spécialiste du luxe auraient bénéficié d’un séjour VIP dans la capitale tunisienne ; en juin 2004, Gérard Gachet, ancien de Valeurs actuelles, serait parti cinq jours en vacances avec sa femme à Tozeur ; fin 2004, Image 7 aide Françoise Laborde, alors présentatrice du JT de France 2, à organiser un réveillon à Zarzis avec son compagnon et ses deux enfants. Devenue depuis membre du CSA, elle reviendra en 2010 en vacances et bénéficiera d’une voiture avec chauffeur. » Les responsables ont-ils tiré les leçons de ces compromissions ? A lire les commentaires sur le Maroc et sur le référendum concernant la Constitution, on peut en douter. Comme le notait l’envoyée spéciale du Monde Isabelle Mandraud Maroc les réformes du roi plébiscitées », 3-4 juillet 2011, le oui l’a emporté avec plus de 98% et le taux de participation était de près de 73%. Le quotidien relativisait toutefois cette victoire » sur les 19,5 millions d’électeurs potentiels, seuls 13 millions étaient inscrits et le roi n’a pas hésité à mobiliser les mosquées et les imams, leur faisant lire le 25 juin un prêche dicté par le ministère des affaires islamiques un imam qui a refusé a immédiatement été démis de ses fonctions. D’autre part, le taux de participation est-il réel ? Quelqu’un a-t-il vraiment couvert les bureaux dans les régions éloignées ? Un correspondant marocain a écrit au site Angry Arab Covering Morocco », 2 juillet pour lui faire part du périple de 470 kilomètres qu’il a parcouru dans son pays, ce qui met sérieusement en doute les pourcentages annoncés. C’est sans doute pourquoi le Journal du dimanche du 3 juillet titre Un triomphe en trompe-l’œil » l’édition électronique publie, en revanche, un article beaucoup moins critique intitulé Maroc plébiscite pour le roi ». Mais, au-delà de ces polémiques, la question est de savoir si cette Constitution limite les pouvoirs du roi et assure le passage à une monarchie constitutionnelle. La réponse est claire c’est non. Les pouvoirs du roi restent entiers y compris celui de faire approuver », demain, une autre Constitution et sa fortune immense et la corruption de ses proches resteront sans contrôle aucun. Toutes ces limites n’ont pas empêché des responsables et des journalistes français d’expliquer combien le Maroc était un exemple il faut bien en trouver un puisque la Tunisie et l’Egypte ne le sont plus. Rachida Dati, députée européenne, a déclaré le 23 juin Le discours révolutionnaire prononcé vendredi dernier par SM le Roi Mohammed VI préfigure d’une réforme constitutionnelle sans précédent qui fait du Maroc un pionnier et un exemple pour tous les pays arabes. » Elle était en visite au Maroc pour le lancement du groupe d’amitié Union européenne-Maroc et elle a appelé le Parlement européen à exprimer un soutien sans réserve » aux réformes annoncées par le Maroc. Ainsi, avant même le vote, un responsable français prend position dans ce qui relève des affaires intérieures marocaines, et cela ne choque personne. Quant à Alexandre Adler, dans Le Figaro La “révolution de velours” marocaine, un modèle pour le monde arabe ? », 25-26 juin, il écrit Plutôt que de céder aux intimidations de la rue, le roi a pris les devant, dans la continuité d’une monarchie marocaine que seule une frange minoritaire de l’islamisme conteste réellement. Il propose donc de réaliser en peu de temps la transition vers une monarchie parlementaire où l’instance législative issue du suffrage universel deviendra déterminante dans le vie de la nation. » C’est cette contre-vérité qui permet au journaliste de conclure que les solutions pragmatiques peuvent encore l’emporter à temps ». Personne ne peut dire quand la dynastie marocaine tombera. Mais, quand cela arrivera, on sera curieux de mieux connaître les liens avec le roi de tous ces journalistes et intellectuels, de tous ces responsables politiques, de DSK à BHL, qui ont construit leurs splendides résidences secondaires riyads à Marrakech ou ailleurs au Maroc. Alain Gresh
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Les banlieues françaises sont en passe de devenir des terres d’Islam » et de nombreux musulmans français y aspirent, selon l’historien Alexandre Adler, qui s’inquiète de l’auto-administration musulmane contre l’Etat » dans les quartiers Alexandre Adler, les violences en banlieue ne s’expliquent pas seulement par des problèmes sociaux, mais il existe selon lui une conception du territoire propre à l’Islam » Il y a l’idée dans la doctrine musulmane la plus traditionnelle qu’il existe une terre de l’islam. Là où l’Islam s’est répandu, là où les peuples l’ont accepté cette terre est désormais islamique », a-t-il expliqué lors d’une interview sur France lui, la situation des banlieues françaises est comparable à celles des régions musulmanes de l’Inde qui ont fini par faire sécession et devenir le Pakistan et le Bangladesh. C »est un peu ce qui se passe quand les quartiers essayent au fond de s’auto-administrer contre le pouvoir d’Etat. C’est une terre de l’Islam et à un moment donné effectivement, la République n’y pénétrera plus », a-t-il Adler a enfin conclu en relatant une anecdotique arrivée à Martine Aubry. La maire de Lille se rendait à Roubaix, dans un quartier à 90% musulman et l’Imam l’a accueilli d’un bienvenue chez nous qui malgré toute la tolérance de Martine Aubry dans ce domaine ne lui convenait pas ».
Dans« L’avenir de la nouvelle Russie », Alexandre Adler n’esquive aucun des aspects de la « crise ukrainienne » qui est venue donner à son propos une très brûlante actualité. Il analyse, il juge et prend position. L’Ukraine, c’est le coeur de la Russie, la nation ukrainienne n’existe pas, pas plus qu’une supposée identité linguistique ou religieuse véritablement propre
De Tunis à Damas, du Caire à Tripoli, le printemps arabe a eu des résultats pour le moins contrastés, avec l'émergence des partis islamistes. Il faut donc que l'Occident ait un regard lucide sur les combats à venir. L'Islam, observe Alexandre Adler, n'est pas un empire dans l'empire», mais une partie dolente, vibrante, inventive et originale de notre Humanité toujours plus unifiée, même à son corps défendant. Oui, l'Histoire a recommencé. » Rencontre avec l'auteur, qui nous donne des clés essentielles de est ce fameux jour où l'Histoire a recommencé?Alexandre Adler - On peut conventionnellement désigner le 17 décembre 2010, quand le malheureux jeune Tunisien Mohamed Bouazizi s'est immolé par le feu, après avoir été maltraité par les autorités de son pays, pour mourir le 4 janvier 2011. C'est à partir de là que, telle une traînée de poudre, a démarré la révolte qui a entraîné le départ du président Ben Ali. Puis ce fut la place al-Tahrir, au Caire, avec les suites que l'on connaît de cette révolution arabe la chute de Kadhafi en Libye, la guerre civile en Syrie, les troubles yéménites, les réformes survenues au Maroc dans l'organisation politique du pays ainsi que des mouvements plus souterrains mais non moins prégnants en Jordanie, Palestine, Irak, voire en Arabie saoudite. C'est un continent entier, de l'Atlantique au golfe Persique, qui a été frappé d'une seule secousse - essentielle par son ampleur géographique, mais aussi du point de vue de l'espace-temps dans lequel s'inscrivait ce fait, après avoir connu une phase d'indépendance révolutionnaire et activiste, il s'était comme soustrait à l'évolution générale de la planète. La vague démocratique qui avait déferlé à partir de la fin des années 1970, avec pour point d'orgue l'effondrement du mur de Berlin, puis de l'Union soviétique en 1991, et qui avait continué à courir jusqu'en Afrique du Sud, ne l'avait nullement atteint. Le monde arabe donnait même l'impression d'être devenu la poche de résistance à la démocratisation et à la mondialisation. Si jamais, comme le dit le slogan imbécile des altermondialistes, un autre monde est possible», c'est précisément voilà que, d'un coup, rattrapage d'une violence extraordinaire, une nouvelle génération sans leader politique ni organisation constituée s'empare de l'espace public, d'abord dans les dictatures débonnaires», Tunisie et Egypte ; puis en Libye et en Syrie, où le despotisme sanguinaire rend les choses singulièrement plus complexes. Une nouvelle génération émerge avec une aspiration à l'identité bien plus importante que le droit à la différence. Elle veut que l'Etat rende des comptes, qu'il soit soumis à un ordre constitutionnel, que l'on ne puisse pas voler impunément le bien public, que les dirigeants se soumettent au suffrage populaire, que la liberté d'information soit généralisée. Mais on sait que les saisons passent au printemps arabe» a succédé au fil des semaines un hiver prolongé avec, partout, l'émergence des Frères musulmans dont on n'imaginait pas - au contraire de l'Egypte où ils sont implantés depuis 1928 - qu'ils pussent remporter sans coup férir les élections tunisiennes, et même s'imposer comme le premier parti marocain. Il s'agit là d'une confrérie d'une puissance considérable, dont les intentions ne sont rien moins que à dire que le printemps arabe» pourrait être une ruse de l'Histoire?On peut certes se demander si, comme Hegel le prétend, tout cela ne serait pas une ruse de l'Histoire, un vaste complot des forces intégristes manipulant des symboles qui nous sont chers de façon à prendre le pouvoir. Eh bien non, comme Aristote l'opposait à Platon, il faut sauver les phénomènes les apparences existent. Nous n'avons pas eu la berlue, nous avons bien vu une jeunesse libérale, ardente, courageuse, s'opposer en Tunisie et en Egypte à un système de répression qui, peu à peu, allait se ce qui est de l'Egypte, le vide créé dans la classe politique a été comblé par la confrérie des Frères musulmans, qui jouit dans ce pays d'une forte implantation sociale et dont on ne se débarrassera pas aisément. Cela étant, après le choc salutaire du retour à une vision plus prosaïque et lucide de la réalité arabe, il est clair que la révolution démocratique n'a pas été une illusion. La preuve? En Egypte, où règne une grande confusion politique, alors que le sabre et le goupillon - militaires et Frères musulmans - allaient s'entendre pour sauvegarder la tradition d'un Etat centralisé en confisquant l'élection, la situation s'est compliquée. Le succès auprès de la jeunesse d'un candidat tel qu'Aboul Fotouh, dissident des Frères musulmans, n'entrait assurément pas dans les calculs des militaires les plus cyniques, non plus que des dirigeants les plus expérimentés de la confrérie. L'élection sera donc plus difficile que prévu. Cette complexité nous renvoie à ce que nous avons vécu...Quelles conséquences pour notre monde occidental?Grande question, mais à prendre par la fin quel monde occidental? Les événements survenus ont à nouveau divisé l'Occident en deux parts - la première est américaine avec les Britanniques, comme toujours, la seconde regroupe l'Europe continentale, Russie comprise - pour un combat à fronts renversés. Tout le monde se souvient de la célèbre photo de Jacques Chirac, Gerhard Schröder et Vladimir Poutine qui, tels les trois Horaces, juraient aux Nations unies de s'opposer à la frénésie de conquête de George W. Bush en Irak. Cette vignette d'une Europe pacifiste face à une Amérique belligérante est désormais inversée. Pour une raison n'ayant rien à voir avec une éventuelle sympathie pour les Frères musulmans - encore qu'ils aient une bien plus grande tolérance que nous pour les excentricités religieuses Mitt Romney, mormon convaincu, compte là -dessus pour sa campagne présidentielle -, les Etats-Unis ont décidé de ne plus se mêler de ce qui se passe dans le monde me l'a confié un jour avec une désarmante candeur Condoleezza Rice Les Américains sont fatigués. Il faut les laisser tranquilles. Ils ne veulent plus entendre parler de cette région.» La conjonction des sympathies musulmanes de Barack Obama et d'un isolationnisme modernisé de l'establishment stratégique conspire donc à la solution actuelle, laquelle est elle-même compatible avec la vieille alliance avec l'Arabie saoudite. Pour les Américains, si les musulmans de la terre veulent faire des Etats islamistes, c'est leur affaire. On définira un certain nombre de limites à ne pas franchir qui permettront de coexister. C'est l'appeasement à la façon des années 1930, dans une version moderne. Obama l'a pratiqué en 2009 lors de la révolution démocratique en Iran. On a également pu observer l'extrême réticence avec laquelle l'administration américaine est intervenue en l'inverse, parce qu'elles ne sont pas sauvegardées par l'océan d'abstraction que peut représenter l'Atlantique, les sociétés européennes sont conscientes qu'une part de leur avenir se joue dans le monde arabe si des régimes islamistes sur le modèle d'Ennahda en Tunisie viennent à dominer tout le Maghreb, ce sont nos banlieues qui flambent. Si les Frères musulmans prennent demain d'assaut l'Etat syrien et décrètent la guerre sainte pour libérer les musulmans opprimés dans les pays voisins - notamment le Caucase -, ce sont les Russes qui se retrouveront avec des guerres ranimées au Daghestan, en Tchétchénie, etc. Quant à la Turquie, nation musulmane la plus liée à l'Allemagne, son évolution est au coeur des réflexions des dirigeants politiques d'outre-Rhin, quoi qu'en dise Angela Merkel. Ainsi l'Europe continentale, qui s'était soustraite avec horreur à l'intervention américaine en Irak, ne peut passer la montée en puissance de l'islamisme politique par profits et pertes. Pas question, bien sûr, de se préparer à une nouvelle croisade, mais il faudra agir avec détermination et considérer la complexité des sociétés musulmanes avec une bien plus grande lucidité que ne le font les que peut faire l'Occident?D'abord, rien qui puisse nuire - vieille recette hippocratique! On ne peut en vérité qu'essayer de fortifier les acquis de la révolution afin que le jeu démocratique qui a fonctionné en Tunisie et au Maroc, et qui devrait être respecté en Egypte, permette l'alternance. Rien n'est moins sûr, évidemment. Quand bien même certains Frères musulmans seraient capables d'une évolution modérée, on l'a vu avec la scission d'Aboul Fotouh en Egypte, la capacité des mouvements islamistes à évoluer favorablement ne viendra évidemment pas d'eux-mêmes. Si le parti islamiste turc AKP a su jouer le jeu de la démocratie, et même de l'européanisation, c'est bien parce que la société turque n'aurait pas toléré autre chose. De la même façon, si demain l'Ennahda renonce à une partie de son programme, c'est bien parce que les femmes et la jeunesse protestent vivement chaque fois que ressurgissent des dispositions qui les heurtent. La meilleure façon d'aider ces pays est d'agir par le biais de la société civile, en canalisant l'islamisme, en le contraignant à évoluer comme, finalement, la gestion démocratique de la guerre froide a pu modifier les partis communistes en France ou en passera-t-elle, par exemple, par internet et les médias?Internet et les médias sont une vraie question, on l'a vu avec la prise de contrôle d'al-Jezira par les islamistes égyptiens du cheikh Karadaoui, les militants du Hamas palestinien, et par la présence d'islamistes convaincus dans l'entourage proche de l'émir du Qatar. Dans cette bataille médiatique, les islamistes ont un coup d'avance. Sans faire radio Europe libre ni organiser la guerre froide, nous devons aider à la fois financièrement et techniquement tous ceux qui essaieront de faire vivre une information pluraliste. Tout mouvement comporte ses extrémistes et ses modérés un certain nombre de gens qui ont exprimé à travers l'islamisme leur opposition au régime qu'ils subissaient peuvent souhaiter aussi une réconciliation avec les valeurs de la démocratie, ils s'y engageront d'autant plus qu'en face existera la contrepartie. C'est là que nous, Européens, devons réfléchir. Autrement dit, ne pas armer Bachar el-Assad à tout prix comme le fait Poutine, mais aussi ne pas couvrir les islamistes de fleurs, comme tant d'idéologues naïfs sont disposés à le faire en France et en les Russes soutiennent-ils le gouvernement syrien?Pour trois raisons - deux mauvaises et une relativement bonne. La première relève du cerveau reptilien un réflexe de Vladimir Poutine vis-à -vis d'un pays allié à qui la Russie procure l'essentiel de son arsenal militaire. Symétriquement, en territoire syrien, la base navale russe de Tartous n'est sans doute pas essentielle du point de vue stratégique, mais le symbolisme est là . La Syrie demeurant l'un des derniers lieux où flotte encore le drapeau, dirais-je non pas russe, mais soviétique, il n'est pas question pour Poutine de s'en laisser chasser comme un malpropre. A bien des égards, cette crispation d'un pays en perte de prestige fait penser à l'affaire de Suez en 1956, quand la France et l'Angleterre, en passe d'être boutées hors du monde arabe, n'inventèrent rien de mieux que cette utopique et dangereuse expédition pour renverser Nasser, avec le résultat que l'on deuxième mauvaise raison qu'a Poutine de soutenir la Syrie est d'espérer encore bâtir un contrepoids antiaméricain un peu partout dans le monde - avec pour le Moyen-Orient, l'Iran et son bastion avancé de Syrie. C'est l'alliance iranienne qui pousse les Russes, à travers leurs amis arméniens, par exemple, à subventionner et soutenir militairement Bachar el-Assad. Cette alliance iranienne est non seulement contraire aux intérêts à long terme des deux pays, mais elle est doublée chez les Russes d'une nostalgie impériale sans arrive donc à la troisième raison, celle-là relativement bonne je partage l'analyse russe selon laquelle la Syrie est le modèle même de ce que l'on appelle un no win game, un jeu qui ne peut pas comporter de vainqueur. Malgré bien des séquelles, nous sommes arrivés à une solution optimale en Libye parce que l'entière population souhaitait la chute de Kadhafi, l'intervention occidentale contrecarrant en partie celle des Frères musulmans. Rien de tel en Syrie où les chiites alaouites, les chrétiens ainsi que d'autres minorités, dont les druzes, n'ont cessé de manifester leur hostilité à la révolution dirigée par les Frères musulmans syriens et égyptiens. N'ayons aucune illusion la victoire du camp révolutionnaire serait celle du sunnisme orthodoxe, avec pour conséquence immédiate une répression des minorités. La stratégie de Bachar el-Assad est à cet égard des plus cyniques si le patriarche maronite du Liban, qui n'aime guère les Syriens, en est malgré tout arrivé à souhaiter le maintien au pouvoir de la famille Assad, qui fut le bourreau du peuple libanais et de la chrétienté libanaise, c'est assurément pour de solides alaouites se radicalisent. Certains en Syrie souhaitent une partition du pays, avec des débuts de purification ethnique rappelant la stratégie serbe en Bosnie et en Croatie. Bref, ce vers quoi nous allons est peut-être un éclatement du pays. La vengeance de Dieu, en quelque sorte, car les Syriens n'ont cessé de pratiquer cette politique au Liban avec un certain succès. Or ce sont eux qui, maintenant, sont un vaste Liban. Nous payons là tout l'arriéré de l'histoire du Baas, parti fasciste qui s'était présenté comme capable d'unifier un monde arabe profondément pluraliste. Le résultat a été lamentable aujourd'hui, en Irak comme en Syrie, le pouvoir des majorités s'impose dans la violence contre les minorités. Tel est l'aboutissement de la folie et de l'aberration baasistes. Ayons au moins la lucidité de comprendre que nous sommes dans une situation éminemment complexe qui ne sera résolue qu'avec des moyens complexes, et non pas avec des condamnations abruptes des uns ou des autres, qui ne nous mèneront rigoureusement nulle quoi l'alliance entre la Russie et l'Iran est-elle négative pour les deux pays?D'abord parce qu'en entraînant l'Iran pour des raisons tactiques dans son plan antiaméricain, les Russes donnent un ballon d'oxygène aux forces les plus archaïques, antimondialistes et antidémocratiques, qui ont maintenu ce pays dans son isolement. Qu'ils aident les Iraniens en catimini n'a aucun aspect positif, à telle enseigne que les personnalités qui étaient plutôt tournées vers Moscou, tels Khatami ou Hossein Moussavi, ont choisi la Révolution verte - la réforme - et ne veulent rien avoir à faire avec ce encore pire pour la Russie. Ses dérisoires manoeuvres antioccidentales, issues d'une tradition KGBiste dévoyée, ne font que retarder son européanisation, alors que c'est vers les Européens que devrait aller sa solidarité - à charge pour ces derniers de saisir qu'ils ont eux-mêmes tout à gagner à être beaucoup plus solidaires des Russes. En désaccord avec Medvedev, Poutine a eu la sottise d'affirmer que les Occidentaux étaient à l'origine des manifestations et de la contestation qui ont changé la face de l'élection présidentielle russe. En ce sens, si la politique russe est aberrante, nous avons le devoir de lui en proposer une autre, que Vladimir Poutine est à nouveau au pouvoir pour un troisième mandat présidentiel de six ans...Si l'on considère qu'il fut autrefois un candidat plutôt libéral face à Evgueni Primakov, il a évolué en mal. Mais qu'il puisse changer en bien demeure une question ouverte. Le pouvoir n'est plus centralisé entre ses seules mains les conditions tourmentées et en vérité un peu minables de sa réélection ont déjà fragilisé son attitude, surtout lorsque celle-ci était engagée vers le rejet de l'Occident et la stratégie que nous venons d'évoquer.
Lerapport de la CIA : comment sera le monde en 2020 Alexandre Adler. Résumé : Ce document est exceptionnel, unique même. Pour la première fois, le public a accès aux recherches et aux analyses des meilleurs géopoliticiens de la CIA.
Une publication diffuse sur Facebook des photos de textes appartenant censément au livre Le nouveau rapport de la CIA - comment sera le monde demain? » Sur les photos de ce prétendu rapport, il est question d'une maladie ressemblant à une forme grave de pneumonie » ou d'une nouvelle maladie respiratoire humaine virulente » qui se propagerait en/vers 2020» ou d'ici 2025» à l'échelle de pandémie. La Chine serait même citée comme premier foyer de l'épidémie. Quant au mot coronavirus », il apparaît dans ce contexte. Plus perturbant encore, les extraits traitent également du port de masques de protection et de gants en caoutchouc dans les lieux la CIA, agence de renseignements américaine, a bien publié un rapport titré Le nouveau rapport de la CIA ». Il est en effet question du déclenchement possible d'une pandémie mondiale » en Chine. Cependant, les textes photographiés et publiés avec la couverture de cette œuvre sur les réseaux sociaux ne sont pas tous issus du même livre. Leur source est d'ailleurs peu LE RAPPORT DE LA CIA le livre Le nouveau rapport de la CIA - comment sera le monde de demain ? » est un recueil d'essais basés sur les recherches des services de renseignement américains publié en 2005 et préfacé par l'historien et journaliste Alexandre Adler. Il a été réédité et actualisé avec les sous-titres suivants Comment sera le monde en 2020 ? » ou Comment sera le monde en 2025 ? » intitulé Le déclenchement d'une pandémie mondiale » qui apparaît dans la publication sur Facebook, se trouve également dans la dernière version du livre publiée en 2020 une interview sur le site internet du Sénat français, Adler explique " Corona " est un terme codé qui était utilisé par les épidémiologistes en Amérique pour nommer ce qu’ils considéraient comme la pandémie ultime. De pandémie en pandémie, nous allions avoir une pandémie qui allait véritablement s’étendre à la Terre entière. Pourquoi ? Et bien parce que la mondialisation avait atteint un stade très avancé » L'essai est donc une analyse qui se réfère au phénomène de mondialisation et se base sur l'expérience faite suite à la grippe aviaire et au SARS du début des années 2000, pour esquisser une vision du TEXTES MANQUANTS parmi les trois photos représentant des textes, une seule correspond au livre dont la couverture est, elle aussi, photographiée. Les deux autres photos sont des extraits de deux œuvres différentes de l'autrice Sylvia Browne. Browne est une personnalité américaine se décrivant comme médium et guide deux de ses livres édités respectivement en 2004 La fin des temps », et 2008 Prophéties. Ce que l'avenir vous réserve », la prétendue voyante évoque l'apparition vers 2020 d'une maladie ressemblant à une forme grave de la pneumonie qui se répandra à travers le monde ». Selon Browne, de plus en plus de gens porteront des masques chirurgicaux et des gants en caoutchouc en public ». De plus, la maladie disparaîtrait complètement après l'hiver avant de réapparaître de nouveau dix ans plus tard».Le Coronavirus n'a pas disparu, encore moins complètement, après la fin de l'hiver 2020. Malgré les similitudes avec la situation actuelle, il est bon de faire la part des Browne est connue pour ses fausses prédictions. Le Center for Inquiry CFI a établi une longue liste des erreurs commises par la prétendue voyante dans son livre Prophéties. Ce que l'avenir vous réserve » Elle a, par exemple, prédit le vaccin contre le sida pour 2005. En outre, elle a annoncé que cinq corporations internationales auraient associé leurs ressources presques illimitées» avant 2013 pour mobiliser un mouvement mondial et finalement réussir à redonner vie aux forets de la réalité et au vu du reste de la liste exhaustive des prédictions erronées de Sylvia Browne, il est difficile d'établir sa OU ÉVALUER Le scénario d'une pandémie n'appartient pas juste à la science-fiction, mais découle de constatations liées au développement d'agents pathogènes, de manière naturelles ou malveillantes, dans un contexte de mondialisation fulgurante. La forte densité d'habitants dans certaines régions comme la Chine ou le sud de l'Asie rend cette partie du monde très propice à la propagation rapide d'une maladie. Cette analyse est présentée depuis des années par des rapports de la CIA, mais aussi par de nombreuses institutions dans le monde entier, qui se font écho à ce sujet. Ce phénomène est très bien démontré par Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, directeur de l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire IRSEM, rattaché au ministère des Armées, dans son Thread sur Twitter est donc important de différencier des prédictions » faites au hasard par une personne se prétendant médium, des analyses émises par la CIA, une agence de renseignements indépendante et renommée. Mais comme le décrit le spécialiste en géopolitique dans la préface du livre, il ne s'agit là aussi que d'hypothèses » ou réflexions » sur le Facebook archive livre Le Nouveau Rapport de la CIA. Comment sera le monde de demain?» Adler Interview archive Browne La Fin des temps » en langue anglaise Browne Prophéties. Ce que l'avenir vous réserve » en langue anglaise des fausses prédictions de Sylvia Browne par le Center for Inquiry CFI archive de Baptiste Jeangène Vilmer sur Twitter archive l'équipe de fact-checking de la dpa factcheck-belgium
i8nj67L. obn9511n58.pages.dev/266obn9511n58.pages.dev/4obn9511n58.pages.dev/347obn9511n58.pages.dev/39obn9511n58.pages.dev/112obn9511n58.pages.dev/66obn9511n58.pages.dev/129obn9511n58.pages.dev/256obn9511n58.pages.dev/209
alexandre adler comment sera le monde de demain