Mémoirede l'eau à la une du Monde. Cet emballement médiatique est attribué par certains à une manœuvre de eau sont à l'étude in vitro et in silico car ils pourraient expliquer certaines des
À cause des barrages qui le jalonnent et des évolutions climatiques qui entraînent son assèchement, le Colorado fait partie des fleuves dans le monde qui n’atteignent plus la mer ou l’océan – en l’occurrence le golfe de Californie ou la mer de le Colorado est-il condamné à ne jamais revoir la mer ? Dans ce 8e et dernier épisode, Alexis Buisson, correspondant de La Croix aux États-Unis, nous emmène à son embouchure, à Mexicali, au Mexique, en compagnie du Sonoran Institute, une ONG locale qui œuvre à la protection des écosystèmes de l’ 2014, l’ONG est parvenue, avec ses partenaires, à reconnecter le fleuve à la mer pour la première fois en plus de vingt ans. Un signe d’espoir pour tous les fleuves en danger de la se passe-t-il quand l’un des plus grands cours d’eau des États-Unis disparaît ? Quelles sont les conséquences économiques, sociales, environnementales et politiques de cet assèchement ? Est-il possible de sauver un fleuve de cette envergure ?Au cours d’un road trip sonore, Alexis va à la rencontre d’élus, d’entrepreneurs, de citoyens, de militants écologistes, de tribus amérindiennes et de scientifiques pour trouver les réponses à ces questions. Colorado, le fleuve qui refuse de mourir est une nouvelle saison de C’est ça l’Amérique », un podcast proposé par La Croix, en partenariat avec le site d’information des Français des États-Unis French Morning, et le programme universitaire Alliance Columbia University, École polytechnique, Sciences Po, Paris 1 Panthéon Sorbonne.C’est ça l’Amérique est un podcast original de LA CROIX, en partenariat avec le programme Alliance – Columbia et ses partenaires Sciences-Po, Polytechnique, La Sorbonne, et French Morning, le premier web magazine des Français d’ et réalisation Alexis Buisson. Rédaction en chef Fabienne Lemahieu. Production Célestine Albert-Steward. Mixage et composition musicale Emmanuel Viau. Illustrations Olivier Balez. Marketing Laurence Szabason.
Lorsque l’on est millionnaire, on a tendance à aimer les choses démesurées, hors normes, qui sortent de l’ordinaire et que peu de personnes peuvent s’acheter. De la voiture de luxe à la villa ultramoderne, ou bien encore un yacht ou un jet privé, les heureux gagnants de l’Euromillion s’en donnent à cœur joie pour exposer leurs billets… jusqu’à boire des eaux minérales luxueuses ! La rédaction de Super Chance 100 vous dévoile les secrets de l’eau minérale la plus chère du monde, certainement la plus appréciée des millionnaires. Pixabay Il n’y a pas que l’alcool qui expose des prix élevés, l’eau minérale devient également un élément de prestige, parmi tant d’autres ! C’est la marque américaine Bling H2O qui rafle tous les prix et fait de son eau la plus chère du monde ! En effet, cette eau est issue de la source de Dandridge, dans le Tennessee et subi pas moins de neuf traitements de purification rendant cette eau d’une saveur si unique. D’ailleurs, elle a obtenu la médaille d’or au concours du meilleur goût de Berkeley. Parmi les étapes de purification, on retrouve celle à l’ozone, puis celle aux ultra-violets ou bien encore à la microfiltration. Son goût et sa fabrication ne sont pas les seuls éléments qui font que cette eau soit la plus chère, son packaging en est également une composante. En effet, plusieurs packaging ont été proposés pour contenir cette eau, tous plus uniques les uns que les autres, comme la bouteille destinée à Dubaï, comprenant quelques 10 000 cristaux de Swarovski incrustés dans chacune des bouteilles. Le prix de cette dernière ? 2 600$ pour une bouteille de 33,7 cl seulement ! De quoi se souvenir très longtemps de cette eau si vous avez de la chance en jouant avec nous, par abonnement ou la méthode Flex !
Pourle prix, nous espérons que vous êtes assis, car le propriétaire n’a pas lésiné sur les moyens: la maison est estimée à 500 millions de dollars (442 millions d’euros) ! Pour rappel, la maison la moins chère du monde, la Tata House Nano, ne coûte que 500€ ! Pas d’inquiétude, le propriétaire ne souhaite pas la revendre.
Les arowanas rouges sont devenus tellement rares qu'ils atteignent des prix très élevésRetirant avec précaution l'épais tissu noir qui recouvre son aquarium, Erfin Hongdoyo dévoile son trésor un poisson arowana rouge de 40 cm de long. Ce Sino-Indonésien habitant Jakarta est l'heureux possesseur d'un Scleropages formosus scléropage d'Asie ou Scleropages legendrei x macrocephalus, poisson d'eau douce quasiment éteint à l'état connu sous le nom d'arowana "super red", cet animal au corps ondulant ne se trouve plus que dans certaines rivières de Bornéo. Son élevage strictement réglementé se borne à l'Indonésie, la Malaisie et spécimen hybride d'Arowana rouge atteint des prix exorbitants."Il ressemble à un dragon", affirme M. Hongdoyo, en confiant qu'il refuserait de vendre sa créature 25 millions de roupies dollars. Le "poisson-dragon" rouge est devenu l'objet des spéculations les plus extravagantes, certains spécimens dépassant les dollars euros.Dimanche s'est conclue à Jakarta une foire-concours consacrée aux arowanas, surtout les rouges, les plus prisés. Un poisson a été acheté 180 millions de roupies dollars, euros, un autre 200 millions 22100 dollars, 14 500 euros.Les éleveurs que l'AFP a rencontrés sur place constatent unanimement une hausse de la demande en Chine, au Japon, à Taïwan mais aussi en beaucoup de Chinois, posséder un arowana est l'assurance de bénéficier des pouvoirs mythiques du dragon santé, chance, foyer soudé, affaires florissantes. D'autres souhaitent exposer dans leur salon ce symbole de luxe, à l'instar d'une toile de fièvre a stimulé la création de fermes piscicoles spécialisées, parfois cotées en bourse et gérées par des millionnaires. "La concurrence augmente", souligne Jap Khiat Bun, PDG de CV Maju aquarium. "Il y a maintenant plus de 200 éleveurs à Pontianak Bornéo, ils détournent l'eau de la rivière directement vers leurs bassins".Produire des arowanas est pourtant difficile. Il faut s'enregistrer au CITES, la convention sur le commerce des espèces menacées d'extinction. Chaque poisson vendu avec un certificat doit être de deuxième génération ou plus. Une puce électronique obligatoire permet de l'identifier. L'arowana suscite logiquement "une très forte contrebande", selon Chris Shepherd, de l'ONG de défense de la vie animale Traffic. "Les marges sont très élevées, il y a beaucoup de prises illégales", explique-t-il. "Les populations déclinent rapidement et je ne vois aucun signe de ralentissement du commerce"."Il n'y en a quasiment plus en milieu naturel", confirme Laurent Pouyaud, généticien à l'Institut de recherche pour le développement IRD. "Son aire de distribution à Bornéo couvre moins de 100 hectares".L'arowana, capable de sauter à 1,5 m de haut, se capture facilement. "Il a les yeux qui brillent près de la surface et s'attrape à l'épuisette", indique M. Pouyaud. Les critères de qualité suprême d'un arowana sont subtils. Ses yeux doivent être orientés vers le haut, puisque le prédateur est censé être à l'affût d'un insecte. Ses deux barbillons doivent être parallèles, ses nageoires bien déployées. Quelques bêtes exceptionnelles présentent sur le dessus une large rangée d'écailles bien alignées. Le poisson est alors déclaré "I Thiaw Long". Son prix est multiplié par deux. Comme les chevaux de course, des arowanas gagnent une réputation internationale, dit Stephen Suryaatmadja, président du Club Arowana Indonésie. Le "grand champion Singapour 2007" a été baptisé Oscar de la Hoya, du nom du célèbre boxeur américain. Son propriétaire s'est vu offrir le prix d'une Mercedes, il a folie de l'arowana n'a aucune limite. Des faussaires injectent une hormone dans des sauterelles données en pâture aux poissons pour les colorer en rouge. De rares arowanas albinos platinum ont dépassé en valeur des super red. Le poisson est associé au prestige et au pouvoir selon M. Suryaatmadja, le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono vient d'acheter un super red. L'ex-dictateur Suharto en possédait un appelé "arowana pensant".